L’hiver dernier, ma meilleure amie et moi avons invité une
de nos fidèles complices à manger dans un resto qui déchaînait nos passions
depuis déjà plusieurs mois: le IceHouse. Nous connaissant, notre copine qui attendait nappes
blanches et prouesses culinaires s’est étonnée de s’installer à une table à picnic
dressée de carrés de papier-carton et dont les murs sont tapissés de posters vintage
dans la plus pure tradition tex-mex.
Nous avons pu cesser de se justifier au moment où elle a
trempé un premier nacho maison dans une sauce bouillante au cheddar fondu garni
de morceaux de chorizo bien piquants, d’oignons caramélisés et de coriandre
fraîche.
La sélection de tacos et de burritos a de quoi surprendre.
Les ingrédients de grande qualité rendent pratiquement certains de ces plats d’un
calibre gastronomique. Mais surtout : c’est chaud, piquant, savoureux à
souhait et réconfortant à l’infini.
Tout est bon sur la carte du IceHouse. Des crevettes popcorn
assaisonnées au vinaigre de riz au sandwiche Po-Boy aux huîtres en passant par
les barils de poulet frit (à partager avec un bon groupe, de grâce ;) ), ce
troquet de la rue Roy toujours plein à craquer crée une véritable dépendance.
Mon must : Le
burrito au homard et pico de gallo me surprend et me comble à chaque fois.
Du côté des breuvages, le IceHouse propose sa maintenant
célèbre limonade au bourbon mais c’est personnellement pour leur Bloody Ceasar
hauts en épices que je craque chaque fois. La bière Creemore accompagne aussi
très bien la cuisine du Sud.
Au dessert, le Mud pie traditionnel ravira les amateurs de
chocolat mais personnellement, mon appétit est toujours comblé quand j’y arrive
!
*Le IceHouse n’accepte pas les réservations et les clients
sont en quelque sorte victimes de son succès ! Les files indiennes sont
inévitables mais le repas en vaut largement la peine, fiez-vous à ma parole J.
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